Ordre du Jour du Conseil Municipal du 17 décembre 2024 (78.36 Ko)
Approbation du PV :
Après de nombreuses tentatives infructueuses d’obtenir des Procès- verbaux objectifs et sincères, nous ne nous exprimons plus sur ce point en Conseil Municipal.
Du fait de la proportionnelle qui garantit à la majorité de passer sans difficulté, qu’il s’agisse de Procès-verbaux ou de Délibérations, tout est systématiquement approuvé.
Dans ce contexte, nous concentrons nos efforts sur l’analyse du contenu des délibérations, afin de pouvoir poser des questions pertinentes en séance et de vous informer à la suite du Conseil municipal, de façon claire et documentée, des décisions prises par le groupe majoritaire.
Les Délibérations :
"2024-083 État récapitulatif des indemnités versées aux élus du Conseil municipal (2023)"
Ci-joint le tableau des indemnités :
Il aurait été aussi bienvenu que la municipalité présente un état récapitulatif des travaux réalisés dans toutes les délégations indemnisées, car certaines d’entre elles ne font jamais l’objet d’une présentation de résultat.
Depuis que Marie-Hélène Aubert est Maire de Jouy-en-Josas, tous les conseillers du Groupe Majorité sont indemnisés, ce qui n’était pas le cas dans le mandat précédent au cours duquel les conseillers n’étaient pas tous délégués, et ceux qui l’étaient pouvaient effectivement, de façon factuelle et « régulière », rendre compte de leur travail au service de la collectivité.
=>> Nous ne sommes pas opposés au fait que les élus soient indemnisés, ce que nous contestons c’est la gestion qui est faite de ce montant alloué par l’État, dans sa distribution et sa répartition au sein de ce Conseil municipal. En effet, il aurait été normal, et beaucoup plus juste et sain, d’indemniser tous les conseillers, y compris ceux de l’opposition qui oeuvrent aussi de façon réelle au service des habitants qui les ont élus.
La Maire n’est pas seulement la Maire de son propre groupe, elle est Maire de la ville, et elle a un devoir d’exemplarité. Ainsi elle doit gérer l’argent public sans faire de distinctions opportunistes.
Le fait de chercher à élargir son influence en attribuant des privilèges porte un nom en français : clientélisme.
Aucun vote n’est associé à cette délibération pour laquelle il nous était simplement demandé de prendre acte.
Votes CONTRE
"2024-085 Approbation de la décision budgétaire modificative 2024-1"
Nous ne pouvons pas télécharger les fichiers des Maquettes Budgetaires sur le site du fait de leur taille, cependant si vous souhaitez les recevoir pour les consulter contactez-nous par mail : rejouysens@gmail.com
Dans la délibération, il est fait état de postes en attente de recrutement, mais il n’est pas précisé de combien de postes il s’agit.
Il y est aussi fait référence à l’ajustement du budget de l’opération de rénovation énergétique du groupe scolaire du centre, mais aucun élément financier correspondant à cette augmentation n’est mentionné.
Il apparaît aussi que des dépenses pour le déménagement de la crèche dans l'école du Parc de Diane ont déjà été engagées en 2024.
=>> Nous avons mis en évidence certaines lignes qui nous ont interpellés dans la maquette budgétaire modificative 2024 :
a- Fonction 0 - Services Généraux
Dans la Décision Modificative 2024, il convient de noter une augmentation d’environ 90 000 €, reportée dans le Budget Primitif 2025 (la différence se situe à la ligne 218 autres immobilisations corporelles)
À quoi correspondent ces frais supplémentaires ?
* Dans la Maquette Budgetaire de Décisions Modificatives voir pages 39/41. * Dans la Maquette du Budget Primitif 2025 BP voir pages 48/50
La question a été posée en Commission, puis en Conseil municipal.
Le directeur général des services a répondu que « sous réserve de vérification », il devrait s’agir du rachat d'une camionnette destinée à l’utilisation des agents des espaces verts, qui a été volée, ce qui a représenté un coût d’environ 70 000 € (l’écart de 20 000 € avec le montant affiché dans la maquette budgétaire reste donc sans réponse).
b- Fonction 7 - Environnement
Dans la Décision Modificative 2024, une augmentation de dépenses de 700 000 € par rapport au Budget Primitif 2024 est indiquée en « avance commande immo corporelles ».
* Décisions Modificatives 2024 voir page 59
De quoi s’agit-il ?
Le directeur général des services a répondu en Conseil municipal qu’il s’agissait peut-être des frais liés à l’enfouissement des lignes des rues Clairbois et Clairière, dans le quartier des Metz, suite à la signature de la convention avec le SIGEIF, pour un montant de 630 000 €. Cependant, le chiffre inscrit au budget n’est pas de 630 000 €, mais de 700 000 €. Ce qui génère encore une fois un écart inexpliqué.
De plus, il est surprenant qu’une dépense de la fonction aménagement du territoire soit inscrite dans les dépenses de la fonction environnement.
c- Fonction 8 - Transports
Dans la Décision Modificative 2024, le budget de dépense de 1,2 million d’euros inscrit au Budget Primitif 2024 pour la piste cyclable de la route départementale, a fondu à 74 000 € et dans le Budget Primitif 2025 à 0 centime…
Le projet de piste cyclable sur la route départementale, qui avait été mis en avant dans le débat d’orientation budgétaire 2024, a donc été suspendu pour le moment…
* Décisions Modificatives 2024 voir page 63. * Budget Primitif 2025 voir pages 69/72
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"2024-086 Approbation du budget primitif 2025"
MUSÉE : ET SI ON COMMENÇAIT À S’EN PARLER AVEC SINCÉRITÉ ?
Marie-Hélène Aubert a affirmé l’année dernière devant la population (vœux du Maire) que le Musée de la Toile de Jouy était « quasiment » à l’équilibre.
Cependant, aucun élément factuel et détaillé confirmant ces propos n’a été apporté aux conseillers municipaux. Alors même que l’organisme CADA (Commission d'accès aux documents administratifs) qui veille à la transparence des informations de la vie publique, a émis un avis favorable et très documenté afin que Marie-Hélène Aubert accepte de répondre aux questions posées par les élus sur ce sujet.
POURQUOI cette omerta ?
On s’aperçoit un an plus tard, après analyse des maquettes budgétaires, qu’en vérité, les dépenses du Musée s’élèvent à 1 million d’euros environ, et que les recettes en correspondance sont de 450 000€ seulement…Le Musée est donc loin d’être à l’équilibre, il est même très déficitaire.
Cependant, au mois de décembre 2024, un appel d’offre d’un montant de 60 000 €/par an a été voté en commission appel d’offre pour recruter un ou deux prestataires extérieurs qui assisteront les agents de la commune dans l’entretien de l’ensemble des espaces verts de la ville.
Et il s’avère qu’un tiers de ce montant, soit 20 000 €/par an, servira uniquement à l’entretien du petit jardin fleuri situé sur le parvis à l’entrée du Musée.
L’explication qui nous a été donnée en commission est que la ville souhaite que des motifs floraux rappelant la Toile de Jouy soient réalisés à cet endroit, et pour cela, il a fallu faire appel à des prestataires spécialisés en création florale, dont les honoraires sont plus importants que ceux des autres…
Le delta entre les dépenses et les recettes du Musée se creusera donc encore plus en 2025 !
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=>> Dans la Maquette du Budget primitif nous avons mis en évidence certaines lignes budgétaires qui nous ont interpellés :
a- Fonction 3 - Culture, Vie Sociale, Jeunesse, Sports et Loisirs
- Ligne 213 article 314 : 170 000€ de « construction au Musée »
De quoi s’agit-il ?
La réponse qui nous a été donnée : c'est que cette somme correspond à certains travaux d'entretien et de manutention du Musée.
- Ligne 212 article 322 : 100 000€ d’aménagement de terrain
De quoi s’agit-il ?
Réponse formulée en séance : travaux sur le terrain stabilisé qui se situe en haut du centre sportif et associatif de Jouy-en-Josas.
* Les deux lignes sont dans le Budget Primitif, pages 55/56
b- Fonction 4 - Santé et Action Sociale
Tout un chapitre concernant le déménagement de la crèche associative PERA dans l’école élémentaire du Parc de Diane (immeuble moderne, récent, chauffé et éclairé)
Comme constaté dans la maquette budgétaire modificative 2024 (page 50), 110 000 € supplementaires ont été dépensés pour la crèche en 2024 :
Or, dans la maquette du Budget Primitif 2025 (page 58/60), une dépense supplémentaire de 565 000 € est inscrite pour ce projet de déménagement de crèche, d’où un coût global s’élevant à 675 000 €,
Une subvention de 430 000 € (argent public qui transite par d’autres canaux) est inscrite en recette pour ce projet de déménagement, ainsi le coût final pour la ville, si la subvention est accordée, sera de 245 000 €
=>> Pour seulement 4 berceaux - cela représente un coût élevé par berceau pour les Jovaciens…
Pourquoi une telle dépense?
Comment font les autres communes, comme les Loges-en-Josas, par exemple, pour dépenser beaucoup moins pour un projet nettement plus complexe ?
En effet, dans la commune des Loges-en-Josas, un projet de relocalisation de la crèche existante est en cours. Il s’agit de créer des nouveaux locaux dans un bâtiment qui ne contient que des murs nus (sans isolement, ni électricité, ni chauffage, où tout est à faire), pour accueillir une crèche de 20 berceaux, et le budget global « hors subventions » pour ce projet s’élève à environ 350 000 €.
La question mérite donc d’être posée une seconde fois :
Pourquoi à Jouy-en-Josas dépensons-nous un montant largement supérieur pour un simple déménagement dans un bâtiment récent, en parfait état, en mettant en péril un établissement scolaire, pour seulement 4 berceaux dans une crèche associative ?
c- Fonction 5 - Aménagement Territoire et Habitat
Ligne 203 article 531 : 730 000 € de rénovation pour l’immeuble du Parc de Diane (subvention en recettes de 250 000 €, donc dépense pour la ville de 480 000 €)
* Budget Prilmitif 2025 pages 61/63
Plusieurs questions :
1- Cette somme est inscrite en frais d’études, pourquoi ? Comment est-il possible de dépenser 730 000 € dans une seule étude ?
2- Cela signifie-t-il que l’organisme SOLIHA qui devait réaliser une étude pour les travaux de modernisation de cet immeuble a jeté l’éponge ? Il semblerait que cela ne soit pas le cas…Nous attendons donc de le savoir.
Quoi qu’il en soit, si on fait la somme des dépenses que la ville va engager pour la réfection de l’immeuble adjacent de l'école du Parc de Diane et le déménagement de la crèche, conséquence directe de ces travaux, cela donne :
245 000 € + 480 000 € = 725 000 € dans le meilleur des cas !
d- Fonction 7 - Environnement
Lignes 203/131 Actions transversales
150 000€ de dépense avec une subvention de 105 000 €
*Budget Primitif 2025 pages 66/68
De quoi s’agit-il ?
Réponse obtenue en séance : Il s’agit d’un projet d’Atlas Biodiversité pour lequel la ville s’engage à dépenser un montant de 45 000 €
ABSTENTIONS
"2024-092 Approbation de la subvention 2025 au bénéfice du CCAS"
Pourquoi la subvention de la ville a tellement augmenté et augmente encore pour 2025 ? :
Après analyse du compte administratif 2023 et du budget 2024 du CCAS, nous avons relevé une baisse des recettes des prestations de service (aide à domicile) : ce service avait déjà connu une baisse d’environ 30 000 € en 2023, et entre le Budget Primitif 2023 et le Budget 2024, la baisse est encore de 20 000 €
Si la population vieillit, comment se fait-il que ces prestations diminuent ?
Cela provient-il d’une diminution du nombre de bénéficiaires du portage de repas ? Des prestations d'aide à domicile ? Des deux ?
La réponse qui nous a été apportée en Conseil municipal est que la demande n’est pas en baisse, mais nous n’avons pas de personnel pour y répondre.
Nous nous sommes ABSTENUS sur cette délibération parce que la réponse obtenue ne nous a pas convaincus et de plus, les deux documents que nous avons demandés (compte administratif 2023 et budget 2024), que nous avons attendus environ un mois et reçus trois jours avant le Conseil municipal ne sont pas suffisants pour bien analyser l’activité du CCAS…Par exemple, nous n’avons pas eu connaissance des décisions modificatives 2024.
Nous avons ainsi formellement demandé que les Procès-verbaux des Conseils d’Administration du CCAS de l’année 2024 nous soient envoyés, et qu’à l’avenir, nous soyons systématiquement destinataires des Procès- Verbaux.
Cela est bien évidemment dans notre droit.
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"2024-097 Actualisation du tableau des emplois du personnel communal"
Nous nous sommes abstenus, car les informations présentées ne sont pas suffisantes pour émettre un avis éclairé sur le sujet.
Votes POUR
2024-084 Travaux en régie - Approbation du taux horaire 2024 pour la valorisation du travail effectué par les services municipaux
2024-087 Subvention aux associations jovaciennes (culture)
2024-088 Avis d'enquête publique au titre de la réglementation ICPE n°4220-Stockage de produits
explosifs dans le cadre des travaux de restructuration du site des CRS à Vélizy-Villacoublay
2024-089 Subventions aux associations jovaciennes (sport)
2024-091Approbation des conventions avec la Région Île-de-France et avec l'Agence de l'eau Seine-Normandie pour le cofinancement de l'opération de végétalisation de la cour d'école maternelle Bourget-Calmette
2024-093 Approbation de l'annexe financière 2024-2025 dans le cadre de la convention de mutualisation d'un archiviste avec la Ville de Buc
2024-094 Mise en place du "bonus attractivité" pour le personnel de la petite enfance
2024-095 Nouveau régime indemnitaire de la police municipale - ISFE
Délibération présentée en urgence le jour même :
2024-098
AIDE D'URGENCE AU PROFIT DES OPÉRATIONS DE SECOURS À MAYOTTE pour un montant de 8 000 €
Décisions du Maire :
Arrêtés :
354 : changement des panneaux de signalisation (cf. décision 94) : coût de 26 574€ - était-ce nécessaire ?
Décisions :
118 : signature du bail de la crèche des Crabouillages du Parc de Diane (association PERA) concernée par le futur dispendieux déménagement : la décision n’apparaît pas sur le site et nous n’avons toujours pas reçu non plus la convention que nous avions déjà demandée au Conseil municipal précédent. Encore une démonstration que la transparence et que les bons procédés ne sont pas appliqués.
Questions diverses :
Trois sujets nous ont été remontés par des habitants du quartier des Metz, inquiets et en attente de réponses et/ou de résolution de la part de la Mairie.
Nous les avons posées par écrit à la Maire, à la Direction Générale des Services et à l’ensemble des élus. Aucun retour à ce jour. Ces sujets sont importants et doivent être connus de tous, ci-dessous un extrait du mail envoyé le 18 décembre matin, résumant les questions posées et toujours en attente de réponse :
- SUJET 1
Un sentier entre la rue Albert Calmette, l’axe majeur de la rue Adanson et le Vallon est en train d’être aménagé en lisière de forêt. Des travaux d’abattage d’arbres dans cette zone ont déjà démarré ; ils n’ont aucun rapport avec l’entretien nécessaire effectué régulièrement par l’ONF, mais leur seul but est de permettre le passage d’engins de chantiers afin d’aplanir la surface du terrain pour la réalisation du sentier.
L’ONF n’est pas le commanditaire de ces travaux, la Ville est la seule porteuse du projet.
- Comment se fait-il que ce projet n’ait jamais été débattu en Conseil municipal ?
- Quelles sont les lignes inhérentes à ces travaux sur le budget la ville ?
- Une étude d’impact sur l’environnement a-t-elle été réalisée avant le démarrage de ces travaux ? Si oui, quelles sont les lignes budgétaires afférentes ?
- Pourquoi ce projet n’a-t-il pas fait non plus l’objet d’une consultation préalable des riverains et des habitants directement impactés ?
Plusieurs inquiétudes ont été exprimées au sujet de ces travaux par les administrés :
1- La réalisation de ce chemin pose un problème majeur en matière de protection de la biodiversité (sujet dont par ailleurs la municipalité se pose en défenseur). En effet, avec l’ouverture du passage humain, l'impact sur cette zone, jusque-là non aménagée, sera délétère pour la faune et la flore.
2- L’aménagement de ce chemin ouvre aussi la brèche à l’aggravation des problèmes de sécurité déjà existants dans ce quartier, car selon l’avis formel de la Police Nationale, cette zone n’étant pas accessible au repérage et favorisant la fuite, l’aménagement d’un chemin tout propre et facile d’accès serait un vrai cadeau pour les cambrioleurs, qui ont déjà malheureusement œuvré de nombreuses fois dans ce quartier.
3- Des arguments concernant le fait que ce chemin serait aménagé afin de favoriser la possibilité de faire des courses à pied pour seulement quelques habitants du Vallon interpellent, à juste titre, l’ensemble des autres habitants de la ville sur l’utilité de ces dépenses publiques dans un contexte difficile qui obligerait à faire des économies.
- SUJET 2 :
Un habitant de la rue Allavoine, confronté à des problèmes de chaudière à gaz, a découvert que les places de parking réalisées par la Ville de Jouy-en-Josas dans cette rue n’étaient pas conformes aux normes de sécurité, car elles n’étaient pas situées à la bonne distance des bornes GRDF et qu’elles pouvaient ainsi empêcher l’accès à ces bornes de la part des techniciens spécialisés en cas de sinistre.
La distance réglementaire des bornes à respecter pour garantir la sécurité des résidents est de 50 cm, or dans la rue Allavoine, il apparaît qu’elle n’est que de 29 cm.
L’habitant directement concerné par ce sinistre a dû entreprendre des démarches personnelles afin de résoudre cette problématique de sécurité, en faisant intervenir les Sapeurs Pompiers des Yvelines.
- Comment se fait-il qu’aucune mesure n’ait été prise par la Ville de Jouy-en-Josas pour mettre en sécurité le pavillon de cette famille, ainsi que les autres pavillons dans cette même rue ?
- Les autres familles résidentes dans la rue Allavoine ont- elles été informées par la Ville de cette situation ?
- SUJET 3 :
Des problèmes d'éclairage en haut de la sente de la butte à Guétin ont été plusieurs fois signalés à la Ville, via le site de la mairie, puis par mail.
Les deux premiers lampadaires en haut de la sente sont inopérants et le troisième qui était tombé lors de la chute d’un l'arbre a été remplacé, mais sans lampadaire (un poteau a été installé pour alimenter une maison située dans la sente).
Cette absence d’éclairage est gênante et dangereuse.
Aucune réponse à ces sollicitations (à l’exception d’un accusé de réception du message de la part du chef de cabinet) n’a été fournie à date du 17 décembre, et aucune intervention technique réalisée.
Conclusion :
Un Maire qui ment à la population et qui refuse de communiquer les éléments financiers aux élus, alors que la CADA lui a intimé de le faire afin de respecter la loi, n’est pas digne d’occuper la fonction qu’il occupe. Il est temps d’en prendre conscience et d’agir pour faire bouger les lignes.